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La Création et l’Évolution
1)
de 1956 à 1970:
En 1956, à l’initiative de Marcel
BRUEL, conseiller municipal de SALVAGNAC-ST-LOUP, Paul CLAUZEL, Maire de
LOUPIAC, Marius ROQUES, Maire de FOISSAC, il est demandé à Monsieur
AYMERIC,
Ingénieur en chef du Génie Rural, d’établir un projet d’alimentation en
eau
potable des habitants des trois communes. L’aide et l’appui du Conseiller
Général du canton de CAPDENAC-GARE, Paulin MAZARS a été également
sollicité.
En
janvier 1957, un plan d’ensemble, dressé par les services du Génie Rural en
date du 8 Octobre 1956, mentionne « un emplacement favorable pour le
creusement d’un puits a été déterminé par notre service et Monsieur
CASTERAS,
professeur de géologie à la Faculté des Sciences de TOULOUSE, situé à 300
mètres environ à
l’amont du confluent Diège-Lot, approximativement à égale distance, 60
mètres environ de
chacune d’elles. Cette solution semble offrir la possibilité d’étendre la
desserte à des villages voisins et d’interconnecter plusieurs réseaux.
Le syndicat aura pour but l’étude du projet
et la réalisation effective des travaux faisant l’objet de ce programme,
ainsi
que l’examen des possibilités d’étendre l’alimentation en eau sur certains
territoires avoisinants.
Le Comité syndical
sera composé de deux délégués élus par chaque conseil municipal et
éventuellement de deux conseillers généraux désignés par le Conseil
Général.
Le siège du Syndicat
est fixé à la Mairie
de LOUPIAC. Il confie la direction du projet au service du Génie Rural et
l’étude et la maîtrise d’œuvre au Cabinet MERLIN.
|
En
1958, un puits est creusé au confluant de la Diège et du Lot, sur la
commune de Capdenac-Gare.
Un premier essai de pompage est effectué par les pompiers en juillet
1960. Un
deuxième essai, réalisé par l’entreprise CAPRARO en octobre 1962,
assure un
débit de 50 m3/heure avec stabilisation d’une nappe d’eau de 70
cm.
|
Le
20 juin 1959, décès de Paul CLAUZEL.
Monsieur
Marius ROQUES, Maire de FOISSAC, devient Président du Syndicat.
Le
26 novembre 1959, le Syndicat du Haut-Quercy accepte l’adhésion des communes
de : AMBEYRAC(en partie), BALAGUIER d’OLT, LA CAPELLE-BALAGUIER,
MONTSALES, OLS ET RINHODES, SAINTE-CROIX, SALVAGNAC-CAJARC(en partie),
SAUJAC (en partie).
Il
prend le nom de « SYNDICAT INTERCOMMUNAL d’ALIMENTATION EN EAU
POTABLE de FOISSAC » et transfère son siège à la Mairie de FOISSAC.
En
1962, la commune de VILLENEUVE sollicite son adhésion pour assurer la
desserte
de la partie ouest de sa zone rurale.
En 1963, un poste de secrétariat est créé. Mme MURATET
Ginette occupera ce poste jusqu’à sa retraite bien méritée en
1989.
En 1965, Mr MURATET René viendra occupé un poste de
fontainier pour le relevé de compteur et l'entretien du réseau
à temps partiel puis à temps complet en 1966.
En 1967, le SIAEP équipe le secrétariat d'une machine à écrire.
2)
de 1970 à 1980:
A
partir du 1er janvier 1972, un contrat de prestation de service est
passé avec la S.D.E.I.
(Société de Distribution d’Eaux Intercommunales)
pour l’exploitation du service
de distribution d’eau potable avec rémunération sur
l’eau produite et Mr MURATET est repris par la SDEI jusqu'en
1982.
En
raison de la baisse du niveau dans le puits principal durant l’été 1972, les
services du Génie Rural proposent de réaliser une conduite d’interconnexion
avec le Syndicat de Montbazens, entre le réservoir du Fraysse à Maleville et
le
réservoir de Balard pour une fourniture journalière de 460m3/j.
En
1973, demande de VAILHOURLES pour desserte du Juge et Espinassière et
demande
de CAPDENAC pour desserte de Lagarrigue et le Malpas.
En
1974, Monsieur Raymond COUSY est élu Président du Syndicat.
La
commune de NAUSSAC demande son adhésion au SIAEP. Elle sera effective à
partir
d’octobre 1975.
Le
mélange des eaux du Syndicat de Montbazens améliore la qualité des eaux, il
n’est pas donné suite à la mise en place d’un adoucisseur.
En
1977, une convention est passée avec la commune de SALLES-COURBATIERS pour
desserte de la Viguerie.
Au
cours de l’exécution de la 23ème tranche de
travaux, pose de pièces de raccord défectueuses par
l’entreprise CAPRARO, leur remplacement sera pris en charge par
le fournisseur.
Demande
d’adhésion du bourg de SALVAGNAC-CAJARC en 1978, elle sera rendue effective
au
1er juillet 1985.
|
En
raison des difficultés d’approvisionnement en eau en juillet et août
1978 (des
abonnés de La Capelle
n’ayant pas vu couler l’eau au robinet pendant une semaine), il est
demandé aux
services techniques une étude pour renforcement de la ressource.
Dans un
premier temps, il sera construit un réservoir de 500 m3 à Balard. |
Le Syndicat a 2100 abonnés, la consommation
annuelle est passée de 113 000 m3 en 1975
à 235 000 m3 en 1979.
Il
faudra trouver de nouvelles ressources, un deuxième puits à Saint-Julien
et un
renforcement de la station de pompage à 1900 m3/jour doit être envisagé.
3)
de 1980 à 1990:
A
compter du 1er janvier 1982, le comité syndical décide
l’exploitation en régie directe du service de distribution d’eau
potable ;
il est décidé de l’envoi d’une lettre aux abonnés pour expliquer
l’augmentation
du prix de l’eau.
La création de la régie directe nécessite la création d’un
poste d’agent auxiliaire à mi-temps et l’équipement de détecteur de fuites,
mobilier, voiture R4 et agencement.
Le contrat avec la SDEI ne sera plus renouvelé.
Mr CALMELS Urbain rejoindra Mr MURATET pour l'entretien de
l'Adduction d'Eau Potable (A.E.P.).
La
décision est prise d’accepter le raccordement du Bourg de SALVAGNAC-CAJARC.
Dans cette perspective, il
est décidé de construire un réservoir de 300 m3 au Causse de
Salvagnac-Cajarc et
d’assurer l’exploitation du réseau.
Monsieur
BRAULT, percepteur à Capdenac, devient receveur du Syndicat. Il
va nous accompagner et nous conseiller utilement pour
la mise en place de la régie directe.
En
mai 1983, Maurice MURATET, en congé longue maladie, sera
remplacé par Urbain CALMELS, qui passe à 34 heures
hebdomadaires.
Et le poste de Mr CALMELS sera dés lors occupé par Mr BOUISSAC Francois.
Mme ISSALIS Jacqueline est embauchée à temps partiel en
1984 pour subvenir à la surchage de travail au secretariat
et à la comptabilité, elle sera titularisée en 1989
lors du depart de Mme MURATET.
En mai 1984, Monsieur ESCOUROUX, ingénieur du Génie rural, propose
l’étude
d’une nouvelle ressource : pompage dans le Lot à Ambeyrac, une station
de
traitement hors zone inondable, refoulement de 11 km vers Balard. Cette
solution permettrait d’assurer la desserte du SIAEP de Foissac, du SIAEP de
Vailhourles, une partie de Montbazens-Rignac et Villefranche de Rouergue.
L’estimation s’élève à 35.4 millions de francs. Après une prise de contact
avec
le député Jean RIGAL et un temps de réflexion, il n’est pas donné suite au
projet. Le comité charge la D.D.A.
d’effectuer des études pour rechercher de nouveaux points
d’approvisionnement.
En 1985, il est décidé l’installation de la
mise en place d’un réseau de télésurveillance ainsi que l’équipement de
radio-téléphone sur véhicule.
Les
premiers renforcements du réseau sont décidés pour permettre à 6 communes
d’assurer la construction de maisons neuves.
Mr MURATET nous quittera en 1986 des suites de sa maladie.
Après
une entrevue avec les responsables du Syndicat de Montbazens-Rignac qui ne
peuvent en l’état actuel prendre l’engagement d’augmenter la fourniture
d’eau, une campagne de forage sur le
Causse en vue de la recherche de nouvelles ressources sera mise en place en
1986. Trois sites seront retenus sur proposition du BRGM (Bureau de
Recherches
Géologiques et Minières) : le Rey à Villeneuve, la Jardinie à Naussac,
le
Fil de Laine à Salles-Courbatiers.
L’ensemble de ces recherches s’étant
avérées
négatives, il est décidé d’une étude
hydrogéologique des alluvions entre la Diège et le Lot.
En 1987, Mr CALMELS fera valoir ses droits a la retraite et sera remplacé
par Mr CAYLA Joël.
|
A l’automne 1987, deux forages sont
réalisés en période d’étiage de la
Diège. Monsieur BEL, hydrogéologue du BRGM, qui a suivi
les travaux,
informe le 27 novembre 1987 le Comité syndical des bons
résultats obtenus.
« L’eau
est
d’excellente qualité chimique et naturellement potable,
elle peut être
distribuée sans traitement physico-chimique à
l’exception de la chloration.
Elle ne contient pas de métaux lourds (cadmium, zinc,
etc…)
Les deux
forages situés dans le périmètre
éloigné du puits, il restera à définir par
un
géologue agréé le périmètre
immédiat. » |
Le
Cabinet MERLIN ayant chiffré les travaux d’augmentation de la ressource en
eau
et l’équipement pour mise en exploitation des deux forages et du
renforcement
de la station de pompage. Le comité syndical se prononce favorablement pour
la
réalisation la plus rapide possible, la rendant opérationnelle pour juin
1988.
En
mai 1988, est prise la décision de mettre en place le périmètre de
protection
et l’accord de principe pour l’adhésion du bourg de SAUJAC, éventuellement
au 1er
juillet 1989. En décembre 1988, les travaux de renforcement sont
pratiquement
terminés, les pompes de 110 m3/heure sont en place.
Le
25 avril 1989, après visite des installations par le Comité syndical, a lieu
un
pot de départ à la retraite et remise d’un cadeau à Madame MURATET,
secrétaire.
Le
Syndicat décide d’acheter un fourgon atelier et de s'équiper en
informatique.
La Mairie de Foissac attribue un bureau au SIAEP.
En
raison de l’étiage sévère et de longue durée de 1988, renouvelé en 1989, il
est
décidé en juillet 1989 de réalimenter la Diège avec des eaux du Lot par
création d’un
barrage provisoire dans le lit de la Diège, qui soulève des protestations de
la Société de pêche. Malgré
les bons résultats obtenus, la procédure ne sera pas poursuivie.
La CADAUMA n’étant pas en
mesure de traiter la facturation de l’eau en 1990, décision est prise
d’équiper
le Syndicat en informatique. Il est décidé d’adhérer à A.GE.D.I. (Agence de
Gestion et de Développement Informatique) dont le siège est à Naucelles
(Cantal). C’est la seule structure qui a accepté de concevoir et mettre en
place un logiciel pour la facturation de l’eau.
En
mars 1990, le Comité décide d’une réalimentation provisoire autour du puits
principal
pour la période d’étiage et demande une étude pour la réalisation de bassins
d’infiltration.
4)
de 1990 à 2000:
La première mini-pelle sera achetée en 1991.
En avril 1994, après études de plusieurs
propositions :
-réalimentation
de nappe avec décanteur
-alimentation
gravitaire de la Diège par l’eau du Lot (150 m3/h)
-production
de l’eau à partir de l’eau du Lot traitée par
membranes d’ultrafiltration,
|
Il est décidé de la
mise en place de bassins d’infiltration autour du forage F3. |
En
février 1994, une réunion a lieu à la Mairie
de CAPDENAC, pour
informer les propriétaires concernés par le
périmètre de protection
rapprochée
Le service des Domaines a évalué le
montant des indemnités éventuelles à 10 % de la
valeur des terres.
Un premier dossier de mise en place des périmètres de protection du
champ captant de St Julien d'Empare est déposé en sous-préfecture afin de
lancer la déclaration d'utilité
publique.
La
décision est prise de construire un local dépôt sur un terrain cédé pour le
franc symbolique par la Mairie
de MONTSALES au lieu-dit « Moa ».
A
la demande de Monsieur CODIS, ingénieur de la MISE (Mission Inter-Service de
l’Eau), le
syndicat devient maître d’ouvrage relais pour l’étude sur l’état et les
évolutions des besoins d’eau dans la vallée de la Diège, dans l’attente de
la
création d’un Syndicat mixte.
En 1995, un poste d'agent temporaire est crée pour le
relevé de compteur, Mr DUMAS Marc occupera ce poste pendants 5
ans.
En
1996, le SIAEP adhère au Syndicat mixte de la Diège,
désigne comme délégué Monsieur COUSY
Raymond et VIGUIE Georges.
En
mars 1996, le Comité syndical décide l’extension de ses compétences et la
modification de ses statuts pour conduire une réflexion sur l’assainissement
dans les communes membres. L’étude du schéma intercommunal d’assainissement
évaluée à 450000 F
nécessitera une part d’autofinancement de 135000 F, débutera au
printemps 1997 et sera confiée au Cabinet GEOTHERMA.
En juin 1997, il est décidé des travaux de
renforcement du réseau pour rendre effective l’adhésion de la totalité de la
Commune de SAUJAC au 1er
juillet 1998 à répartir sur trois ans /
-1ère
phase : raccordement réseau de Saujac
-2ème
phase : renforcement conduite Ø 150 en Ø 200 entre embranchement de
Loupiac et Foissac
-3ème
phase : renforcement à Estrabols et doublement de la conduite du Teil à
Cassanus.
En
décembre 1997, il est porté à la connaissance du Comité syndical la
proposition
du Syndicat Mixte de la Diège :
pour maintenir un débit de 200 litres/seconde dans le cours de la Diège, il
faut construire un
réservoir de 2 à 3 millions de m3.
En
août 1998, une convention est passée avec ATD 12 (Assistance Technique
Départementale) pour la mise en place du
périmètre de protection.
Au vu des nouvelles procédures de mise en place des PP, des compléments de
dossier retarderont le projet.
Désormais
les branchements d’eau seront réalisés par le personnel du Syndicat.
1)
de 2000 à Aujourd’hui :
Suite
à l’étude du schéma d’assainissement,
un rapport a été remis à chaque commune
qui doit définir son zonage définitif et le mettre
à l’enquête publique avec
l’aide des différents services (DDA, DDE, Agence de
l’eau, DDASS). Par la suite
les communes pourront déléguer au Syndicat la prise en
charge du contrôle de
l’existant et de conseil concernant l’assainissement
autonome.
En 2001, afin de faire avancer la création d'un SPANC, un emploi
jeune est créé, cofinancé par l'Agence de l'eau.
Melle MINATI Céline intégré
le SIAEP qui s'équipe de nouveaux ordinateurs et d'imprimantes.
Au vu de la surcharge de travail et la remise à jour des
plans du SIAEP, un troisième poste de fontainier est
approuvé et Mr DUMAS Marc complétera notre effectif.
En
novembre 2001, suite à la demande d’adhésion de la commune de
SALLES-COURBATIERS au SIAEP, le Comité se prononce favorablement ; elle
pourrait
intervenir au 1er juillet 2002.
En
octobre 2002, accord est donné pour une étude de faisabilité de renforcement
de
la ressource en eau sur le site entre le Lot et la Diège sur des terrains
appartenant au Syndicat.
En octobre 2003, suite
au compte rendu de l’étude pour le renforcement de la ressource, il est
retenu
la solution proposée par Monsieur TRONEL
du Cabinet BURGEAP :
-réalisation d’un
forage d’essai approfondi
-réalimentation de la Diège par l’eau du Lot
-étude détaillée des
solutions préconisées avec simulation hydrogéologique.
|
|
L’ensemble des travaux
sera réalisé en 2004.
|
En Décembre 2003, le
champ captant subis les inondations du Lot
et de La Diége. La commune de Capdenac se retrouve sans Eau
Potable, une distribution d'eau en bouteille est mise en place sur
la
place du 14 Juillet.
Le SIAEP de Foissac grâce à l'interconnexion
avec le SIAEP
Montbazens-Rignac et à la capacité de certains
réservoirs continue à alimenter ses abonnés.
Le nettoyage des exhaures prendra une
semaine pour les deux collectivités. |
La
réalimentation de la Diège sera poursuivie les années suivantes durant la
période
d’étiage, de juin à septembre.
En
décembre 2004, après le passage d’un sourcier sur le site de St-Julien
d’Empare, deux ou trois zones ont été déterminées où il pourrait se trouver
de
l’eau.
Après
une entrevue avec la C.E.O.
(Compagnie des Eaux et de l’Ozone) et la Mairie de CAPDENAC, la C.E.O. va
étudier les
possibilités de fourniture d’eau en période d’étiage.
Mlle VERGES (Ingénieur de la DDAF) pense qu’il
faut privilégier une réalimentation de nappe et faire un sondage de
reconnaissance supplémentaire dans les terrains propriété du Syndicat.
Le 10 mars 2005, le Comité
syndical s’est réuni à la Mairie de SAINTE-CROIX. L’objet de la rencontre
est d’essayer
de voir les moyens dont nous disposons pour finaliser l’étude du schéma
d'assainissement et comment
pérenniser l’emploi jeune de Céline MINATI. Les services administratifs de
l’Etat et du département nous ont rejoint pour participer à la réflexion et
nous aider à définir nos orientations. Il est envisagé de modifier les
statuts.
Lors de la réunion du 27 juillet 2005, qui
s’est tenue à la Mairie
de SALVAGNAC-CAJARC, le projet de modification des statuts est présenté par
Mlle VERGES.
Ils seront adoptés le 14 novembre 2005 ; le Syndicat devient
« SYNDICAT INTERCOMMUNAL DES EAUX DE FOISSAC » et assure, en plus,
la compétence
assainissement non collectif (SPANC).
La
technicienne, Céline MINATI, nous a présenté le
travail complémentaire réalisé
auprès de trois communes et à partir de la
réalisation d’un assainissement
regroupé de 12 maisons, la discussion s’engage.
Grâce aux précisions apportées
par Mlle VERGES de la DDAF
(Direction Départementale de l’Agriculture et de la
Forêt), Mme DAREY et M.
LECLERC de la D.D.E.
(Direction Départementale de l’Equipement), M. MARTEAU du
SATESE (Service d’Assistance Technique et d’Etude aux
Stations d’Epuration) et l’accompagnement que pourrait nous
apporter leurs
divers services :
Le
SIAEP va entamer la procédure de modification de ses statuts pour acquérir
la
compétence assainissement non collectif lui permettant la création d’un
service
assainissement autonome individuel
Melle Céline
MINATI qui dispose du système cadastral informatique travaillera avec
chacune
des collectivités adhérentes, à la mise en place du schéma communal
d’assainissement avec l’aide de
l’administration, elle réalisera le dossier de mise à l’enquête.
En 2005, les
travaux de raccordement du château d’eau de Salles-Courbatiers au réseau du
SIEF permettront d’alimenter les abonnés de la commune en période de
turbidité
de la source de la Diège dans l'attente de l'abandon total de cette
ressource.
En 2006, Melle MINATI est embauchée à temps complet pour s'occuper de la
mise en place du SPANC.
En
juin 2006, suite à un appel d’offres, la Société CALLIGEE est retenue
pour l’étude préalable au périmètre de protection.
En
octobre 2006, le comité syndical désigne comme maître d’ouvrage le Syndicat
de
Montbazens-Rignac pour l’étude de nouvelles ressources Centre Ouest du
département et approuve le projet de convention.
En décembre 2006, le Comité syndical décide
la mise en place à compter du 1er
janvier 2007 d’un Service Public Assainissement Non-Collectif (SPANC) et la
création des régies autonomes pour les services EAU et ASSAINISSEMENT.
Mme ISSALIS passe à temps complet.
Après
consultation de trois entreprises, il est décidé de confier au Cabinet
BURGEAP
la réalisation d’un forage d’exploitation à proximité du forage de
reconnaissance.
En 2007, suite au manque d'eau dans divers syndicats d'AEP du
département, la DDA et divers SIAEP décident de crée un
comité de pilotage pour l'étude d'une ressource
départementale unique pour l'ensemble des collectivités
en crise. Le projet se finalisera en Janvier 2010 sans solution
opportune et reprendra fin 2010. Le SIEF adherera sur l'ensemble du
projet.
En
mai 2007, le Comité syndical décide d’acheter un
terrain à la Commune de FOISSAC de 9385 m² au
lieu-dit « le Garric » pour la construction de
bureaux et d’un dépôt.
Après
consultation de trois architectes, le Syndicat décide de confier à
Alain MARTY
le soin de présenter un projet de bâtiment administratif et de service.
Le Lot N°1 d'Amenagement sera conservé et effectué par le SIEF afin de
réduire les coûts.
Suite à la mise en disponibilité de Melle MINATI pour un
an, Mr OLIVEIRA Mathieu est embauché à temps complet en
2008 pour la reprise du poste.
En 2008, Monsieur Alain Savignac(ancien vice-président)
est élu Président du Syndicat et Mr CAYLA fera valoir ses
droits à la retraite.
Melle MINATI réintègre le SIEF en remplacement de Mr CAYLA qui décède peu
après.
En 2009, deux agents supplémentaires en CDD sont embauchés.
Mr CHAUDIERES J-Michel secondera Mr OLIVEIRA dans l’élaboration du
diagnostic d'assainissement non-collectif afin de finaliser l'ensemble
pour 2012.
Mr PRADEL Xavier rejoindra l'équipe de fontainier suite à
l'accroissement de travail autant administratif que technique.
|
En 2009, le SIEF
démenage dans ses nouveaux locaux et vend son
bâtiment technique de Montsalés à la commune en
2010 |
Fin 2009, le SIEF déménage dans ses nouveaux locaux et vend son
bâtiment technique de Montsalés à la commune en
2010.
Certaines contraintes retardent la mise en place des périmètres de
protection.
Une nouvelle campagne d' essai de pompage est réalisé
avec le cabinet GINGER Environnement afin de quantifier les
capacités du champ captant en étiage. Rapport
Ginger
La préfecture demande au SIEF de s'interconnecter avec la ville de
Capdenac-Gare pour palier au problème d'étiage et
d'abandonné tout système de réalimentation de la nappe
pour 2011.
Un nouveau comité de pilotage départemental est
créé fin 2010 pour relancer le projet d'une ressource
départementale à hauteur de 5 000 000 m3/ an.
Le projet SMIFEL (Syndicat MIxte de Fourniture d'Eau du Levezou) est lancé.
2011, Mr PRADEL, et Mr CHAUDIERES quittent le SIEF et Melle MINATI
part en indisponibilité pendant 2 ans.
Mr VERGNES est embauché en remplacement.
2012,Un dossier minute DUP est déposé en juillet pour l'avancée du périmètre
de protection.
Mme GRATUZE Nelly rejoins l'équipe du SIEF en doublons avec la secrétaire
Mme ISSALIS qui fera valoir ses droits à la retraite
Fin 2012.
2013,L'interconnexion avec la ville de Capdenac-Gare devient effective en
2013.
Le SIEF renforce son feeder sur 2012-2013 et, après
avoir engagé des travaux en partenariat avec les communes
réalisant un réseau d'assainissement collectif, obtient
un rendement de réseau supérieur à 70%.
L'Agence de l'Eau Adour-Garonne et le SPANC de Foissac lancent et
réalisent un projet de réhabilitation de quarante
assainissements non-collectifs avant changement des critères
d'attribution fin 2013.
Le projet est fixé sur les communes du SIEF jouxtant la Diége pour renforcer
la qualité de l'eau.
Un avant-projet de récupération des eaux de pluie pour
les agriculteurs gros consommateurs d'eau voit le jour porté par
la coopérative UNICOR, et un de ses administrateurs
présent sur le territoire du syndicat.
L'Agence Départementale de Rénovation Agricole (ADRA)
reprendra le projet avec la chambre d'agriculture pour 11 exploitations
agricoles sur le canton de Villeneuve dont 8 sur le territoire du SIEF.
Les subventions ne pouvant être attribuée qu'à une
collectivité, l'Agence de l'Eau Adour-Garonne via l'ADRA
demanderont au syndicat d'être instigateur de ce projet.
Le choix sera retenue d'être boites aux lettres en 2014. Le
Conseil Departemental accompagnera les 3 exploitations
connectées au réseau voisin.
2014, la procédure d’enquête publique pour la mise en place des périmètres
de
protection est lancée, puis annulée pour vice de procédure.
Un partenariat entre l'ADRA et le SIEF est signé pour un projet
pilote de récupération des eaux de pluie
subventionné par l'Agence de l'Eau Adour-Garonne. (AEAG)
Mr SAVIGNAC Alain renouvelle son mandat pour 6ans.
Mme GRATUZE Nelly, après 2 ans, obtient un poste à la
mairie de Villefranche de Rouergue et demande sa mutation au
premier Novembre.
Mme BRAS Valérie est recruté en doublon au premier Octobre.
En 2015, un avant projet de rationalisation du réseau et de sectorisation
est à l'étude par le Directeur afin de pérenniser le rendement. Les
communes du SIEF finalisent leurs rattachement à une communauté de
commune.
Des projets de réfections d'ANC en partenariat avec l'AEAG se
concrétise. Il est procédé à l'installation de nouveaux logiciels pour la
gestion efficace des dossiers des abonnés.
Le règlement du SIEF refait peau-neuve après 15 ans.
En 2016, le dossier de DUP est remis à jour et l'enquête publique est
lancée.
En 2017, après moult rebondissement, le périmètre de protection du SIEF
se concrétise par arrêté préfectoral. La commune de Peyrusse le Roc
sollicite sont intégration au sein de la collectivité.
Le réservoir sur tour du Teil est réhabilité. Le projet de Sectorisation
et de Rationalisation voit le jour, l'étude patrimoniale est lancée.
En 2018, l'AEAG et le CD12 sont sollicités pour accompagner le SIEF dans
les divers travaux. A l'issue de leurs réponses positives, le SIEF engage
les procédures de marché public pour la sécurisation du périmètre de
protection et la sectorisation.
Après 5 ans de réflexions,
de négociations, et d'appréhension de la commande publique, le projet de
récupération des eaux de pluie pour les agriculteurs sera lancé avec un cabinet
d’étude pour les 6 exploitations restant dans le projet.
En 2019, la station de pompage est remise aux normes, la
sectorisation et la rationalisation du réseau se termine.
Le système de télésurveillance, installé depuis les années 90 et
fonctionnant par minitel, est remplacé par un un système de télégestion en
temps réel par données internet GSM.
En plus des réservoirs, chaque compteur de sectorisation remonte les
informations journalières au poste central pour une recherche de fuite
plus efficace.
Fin 2019, suite à la loi NOTRe, le SIEF est transformé en Syndicat Mixte
à la carte suite à la représentation substitution des communes membres
pour la carte SPANC par les communautés de communes de Ouest Aveyron
Communauté et Grand Figeac.
Les travaux sont lancés sur les 6 exploitations
concernés par le projet initié en 2013, afin de ne perdre
les subventions octroyées.Un suivi sera mis en place par le
directeur du SIEF sur 3 ans.
En 2020, M SAVIGNAC ne se
représente pas à tout mandat. La crise Covid retardant les élections le
vice-président, M DESTRUEL Emmanuel, reprend la présidence par intérim.
Il demandera la validation des
projets de réhabilitation des réseaux principaux de distribution de Cénac et
Marin sur la commune de Sainte Croix et de Loupiac sur la commune de Causse et Diège.
Les aides n'étant pas à l'ordre
du jour pour le financement de cette opération, la réflexion retardera le
projet jusqu'à la nouvelle présidence d'autant que les PLUi des 2 communautés
de communes ont commencé leurs réflexions.
Durant le
confinement, les agents resteront mobilisés sur le terrain pour réparer les
fuites et seul le directeur travaillera administrativement et financièrement au
bon fonctionnement des services Eau et Assainissement.
M MASBOU Serge est élu en Septembre 2020 et prend la présidence.
Porté par les présidents des communautés de communes de Figeac et Villefranche,
il demandera la suppression de la compétences ANC dès les premières réunions.
Malgré les réticences de
certaines communes, cette suppression deviendra effective en Avril 2021 et le
syndicat redeviendra intercommunal.
En 2021, le schéma directeur
(SD) du syndicat sera validé par le conseil. Il vient confirmer les dires des
agents sur la vétusté du réseau et du génie civil des réservoirs.
Dans le même laps de temps,
l'Agence de l'Eau Adour-Garonne reviendra sur sa position quant à l'aide octroyée
et les travaux de réfection des 3 réseaux cités précédemment verra le jour au
printemps 2021.
Suite à la validation du SD, le
conseil décidera de commencer les travaux par la réhabilitation des réservoirs
et limiter les dépenses sur les réseaux par des opérations curatives.
Un nouvel emprunt est contracté
pour suppléer aux manques de financement des partenaires institutionnels.
En ressources humaines du
mouvement apparait en administratif, deux nouvelles secrétaires sont recrutées
suite à la demande de mutation de Mme BRAS.
Les agents techniques vont
consacrés leurs travails sur la réfection de réseau et sur l’explosion des
nouveaux branchements, s’en fera ressentir le rendement d'exploitation.
De plus le suivi des travaux,
engendre un certain temps chronophage, qui ne facilitera pas la gestion au
quotidien des réservoirs, du réseau et des travaux d’entretiens. Les entreprises
finiront les 10km de canalisation en juin 2022.
En 2022, le syndicat lancera la consulation des entreprises pour la
réhabiliattion des réservoirs sur 4 ans par tranches
optionnelles. L'entreprise Capraro sera retenue.
L'estimation financiére sur le marché global passera de 1,1 M€ à 1,8 M€.
Les travaux de la tranche ferme
sur la
station de pompage et le réservoir de Naussac ne débuteront qu’à l'automne 2022, retard pris dû à la sècheresse .
Les interconnexions et les
réseaux de Capdenac et Montbazens-Rignac en tension, ne pouvant suppléer à l’alimentation
des abonnés des pistes de réflexions seront engagés par la direction.
Le suivi à trois ans du projet de récuparation des eaux de pluies montera, également, ses limites et son caractére individualiste.
Des réunions de crise préfectorales
et des pistes de réflexions par le conseil départemental sous l’impulsion de M Arnaud
VIALA, président du CD12, seront engagées.
En premier lieu et dans un
cadre de suivi, le Syndicat a engagé un programme en 2021 de mesures des débits
sur la Diège en trois points distant sur les 19km qui la composent.
L’été 2021 n’ayant
pas été marqué par la sécheresse, les données ont été plus efficientes au cours
de l’étiage 2022 confirmant les dires des employés du syndicat.
Des pistes de réflexions pour
une pérennité de l’écoulement de la Diège seront engagées. (Retenue en amont,
efficience des réhabilitations des zones humides)
Malgré la
limitation du pompage sur la nappe alluviale, passant de 1 600m3/jour à
700m3/jour, au premier juillet 2022, la Diège à subit malgré tout un assec considérable.
En 2023, le syndicat poursuit
son suivi à l'étiage, en s'appuyant sur les partenaires institutionnels, et la compétence
d'un hydrogéologue.
Il engage les travaux sur la première
tranche optionnelle de réhabilitation des réservoirs (Saujac- Salvagnac-Cajarc
et Balard)
RÉALISATION DES GRANDS TRAVAUX
Le
4 juin 1963, il est décidé que les tranches 1 – 2 – 3 permettent
l’équipement
du puits, la conduite d’eau jusqu’à la station de pompage de St-Julien
d’Empare, le refoulement sur le château d’eau du Teil (pompe de 45 m3/h)
et la
desserte de SALVAGNAC-ST-LOUP, GELLE et FOISSAC.
L’eau
a coulé chez les habitants au cours de l’été 1965.
La
4ème tranche de travaux assure la desserte de LOUPIAC et la
poursuite des travaux antenne desservant les chefs-lieux : MONTSALES,
OLS,
LA CAPELLE-BALAGUIER,
SAINTE-CROIX jusqu’au réservoir de BALARD.
Les 5 – 6 – 7ème
tranches sont affectées à la poursuite de la desserte des écarts. En 1967,
la 8ème
tranche est affectée à VERNET-le-BAS et amorce du maillage de Balard à
Asplos.
En 1968, le
Service du Génie Rural est nommé conseiller technique du Syndicat
En 1969 – les 9 et 10ème tranches terminent
la boucle vers Asplos, amorcent l’antenne vers AMBEYRAC et SAUJAC et celle
en
direction de SALVAGNAC-CAJARC.
En 1970-1971
– 11ème et 12ème tranches de travaux.
En 1972
– 13ème et 14ème tranches : construction deuxième
cuve à Balard.
En 1973, une
dotation spéciale aux communes fusionnées Loupiac-Salvagnac-st-Loup permet
le
financement de la 14ème tranche.
En raison de la baisse du niveau dans le puits au cours
de l’été 1972, il est procédé
à mise en place d’une conduite d’interconnexion
avec le Syndicat de MONTBAZENS reliant le réservoir du Fraysse,
commune de Maleville
et le réservoir de Balard. Un
contrat est passé pour la fourniture journalière de 460
m3 d’eau par le Syndicat
de MONTBAZENS.
La
commune de CAPDENAC demande au SIAEP d’assurer la desserte de Lagarrigue et
le
Malpas.
En 1974 –
Renforcement de la station de pompage par l’installation de deux pompes de
65 m3 heure et renouvellement
de la pompe du puits.
En
1976, la 22ème tranche de travaux permet de financer presque tous
les écarts ; des travaux de renforcement sont demandés pour permettre
la
construction de nouvelles maisons.
En
1977, il est décidé la construction d’une troisième cuve de 500 m3 à Balard.
Une demande
spéciale est faite au Ministre de l’Agriculture Jacques CHIRAC, en visite
dans
l’Aveyron. Cette 24ème tranche permettra d’assurer la desserte des
derniers écarts.
En
1980, la 28ème tranche de travaux finance les essais de débit au
puits, le raccordement de la 3ème cuve de Balard à la conduite de
Ø150 à Sainte-Croix, l’équipement de la 3ème cuve. Le reliquat sert
à la construction d’un réservoir enterré
de 750 m3
au pied du château d’eau du Teil.
En
1982, suite à la demande d’adhésion du Bourg de SALVAGNAC-CAJARC, il est
décidé
en 1982 la construction d’un réservoir de 300 m3 au Causse de
Salvagnac-Cajarc.
En
1985, a
lieu le premier remplacement de 300 m de conduite fonte à
Cassanus sur la Commune de CAUSSE ET
DIEGE.
En
1986, une campagne de recherche d’eau est entreprise sur le Causse de
VILLENEUVE, le Rey à VILLENEUVE, la Jardinie à NAUSSAC et le Fil de Laine à
CLAUNHAC.
En
1987, après un compte rendu par le
B.R.G.M., la recherche d’eau s’avérant
négative, il est décidé une étude
hydrogéologique de la nappe phréatique entre la
Diège et le Lot.
La
réalisation de deux forages en période estivale : leur équipement et la
pose d’une conduite de refoulement jusqu’à la Station de pompage permet
l’équipement d’une pompe de 110 m3/heure, qui assure encore en 2008 la
confortation de la ressource du Syndicat.
En 1988, sur proposition de
Monsieur ALDANONDO,
ingénieur du Génie Rural, sont posés sur les
conduites principales, des compteurs généraux
assurant un meilleur
diagnostic du réseau.
Cette
même année, est décidée la mise en place
du périmètre de protection.
En
1990, il sera mis en place une
réalimentation provisoire autour du puits principal.
En 1991, deux
bassins d’infiltration sont construits auprès du forage F3.
En
1995, à la demande de la commune d’AMBEYRAC, la desserte de l’atelier relais
CEPIERE est réalisée depuis MONTSALES, la conduite est propriété du
Syndicat,
un compteur est posé à l’entrée de la
propriété.
Pour
le franc symbolique, un terrain est acheté à la Commune de MONTSALES au
lieu-dit «Moa » pour la construction d’un local dépôt de matériel.
En 2002, une étude de faisabilité
de renforcement de la ressource est confiée au bureau d’études BURGEAP.
Un
accord est donné pour avant-projet :
1)
amélioration de la qualité de l’eau par la mise en place d’une unité de
traitement au bioxyde de chlore à la Station de St-Julien d’Empare
2)
réfection de la chambre des vannes aux réservoirs de Balard et équipement
d’échelles inox.
En
septembre 2004, en raison des fuites occasionnées par la détérioration des
joints du réseau amiante entre Salles-Courbatiers et Marinesque, il est
décidé
de construire une conduite parallèle.
En
juin 2005, est mise en place la conduite enterrée de refoulement pour la
réalimentation de la Diège. La
pompe immergée est fournie et installée par l’entreprise VGS de Saint-Céré,
les
tuyaux par POINT P Travaux Publics de Rodez, les travaux de pose sont
réalisés
par le personnel du Syndicat.
En
novembre 2005, pour permettre l’alimentation des abonnés
de SALLES-COURBATIERS
et palier aux problèmes ponctuels de la turbidité de
l’eau de la source de la Diège, il est
décidé de la
mise en place d’une conduite entre le Saraillas et le
réservoir de
Salles-Courbatiers, et la pose d’un turbidimètre.
En 2009, afin de reduire le nombre de surpresseur sur la commune de
Salles-Courbatiers, et au vu de l'interconnexion avec le reseau du
SIEF, le syndicat modifie le reseau de Salles-Courbatiers.
En 2010, le cabinet Ginger Environnement rend son étude sur le champ
captant. Rapport Ginger
En 2011, suite à une réunion en sous-préfecture, le SIEF
doit s'interconnecter avec la commune de Capdenac qui souhaite porter
l'ensemble du projet lui permettant ainsi de gérer les travaux lui
incombant.
En 2012, les travaux sur la conduite de refoulement (Feeder) de
Capdenac-Gare au réservoir du Teil se concrétisent et
l'interconnexion se finalise.
En 2015, un avant projet de rationalisation du réseau et de sectorisation
est à l'étude par le Directeur afin de pérenniser le rendement.
En 2016, il est décidé de l'instauration de compteur à relève automatique
et d'équipement du parc sur 5 ans. Le coût est estimé à 30 000€ /ans
En 2017, le réservoir sur tour du Teil est réhabilité pour une meilleure
étanchéité avec reprise du génie civil et des canalisations.
En 2018, le SIEF engage les procédures de marché public pour la
sécurisation du périmètre de protection et la sectorisation.
En 2019, suite à une avarie importante sur la station de pompage,
celle-ci est remise aux normes éléctriquement.
Les travaux du périmètre de protection se finalise conformément aux
prescription de l’arrêté préfectoral.
La sectorisation et la rationalisation du réseau se termine. Il est
procédé à l'instauration de nouveaux compteurs (61 au total en plus des 46
installés).
Le système de télésurveillance, installé depuis les années 90 et
fonctionnant par minitel, est remplacé par un un système de télégestion en
temps réel par données internet GSM.
En plus des réservoirs, chaque compteur de sectorisation remonte les
informations journalières au poste central pour une recherche de fuite
plus efficace.
En 2020, la crise covid permettra de concentrer les agents sur le
réseau et plus particuliérement sur la recherche de
fuite. le rendement en sera considérablement augmenté.
En 2021, 10km de réseau seront
réhabilité sur les communes de Sainte Croix et Causse et Diège en prévision d’extension
urbanistique pour un cout de 1.1 M€ de travaux et études.
Le syndicat poursuit ses
travaux de sectorisation en interne et engage ses équipes à la réfection de
petits réseaux (<1km).
En 2022, près de 2km de réseau
seront refait en interne et rationalisés, les 10kms de réseaux seront achevés en Juillet.
En 2023, au vu de risque
sanitaire, une consultation pour la réfection et la rationalisation de certaines
canalisations sera engagée pour un cout avoisinant les 330 k€ pour 4 km de
canalisations et Onze habitations concernés soit 2.7 habitations au km de
réseau.
Depuis 1995, les travaux d’équipements ont
été autofinancés par le Syndicat.
Le réseau du Syndicat
comporte à ce jour plus de 400 kms de conduites dites principales.(>32mm)